Mon chou ?

Petit article, qui ne parlera pas de bricolage aujourd’hui, afin de changer un peu ….

Chou Kale noir de Toscane

Depuis hier, je suis en train de m’occuper de mes choux ! Parce que par chez moi, en fin de printemps et fin d’été, les chenilles passent et si on ne fait rien, les choux trépassent eux.

Je vais être obligée de passer du traitement, mais

• il pleut, donc ça ne sert pas à grand-chose durant les 48h prochaines
• une fois passé, bah, on touche plus aux choux avant un moment quand même (sureté quoi)

Les chenilles, sont à 80% les responsables de l’arrêt de culture du chou chez moi (le reste étant la place qu’il faut pour cette culture), jusqu’à ce que je tombe sur un article qui parlait des bienfaits du chou Kale. Et après recherches, il était en plus sympa à cultiver, puisqu’il poussait tout au long de l’hiver, en va se servir sur le pied et il refait des feuilles continuellement dans la saison.

• Une très bonne source de calcium végétal : Le kale est gorgé de calcium. Avec une teneur de 150mg de calcium pour 100g, il en fournit davantage qu’un verre de lait !

• Des minéraux et des vitamines en quantité : Il est très riche en minéraux et oligo-éléments, notamment en magnésium et potassium. Côté vitamines, il est très bien pourvu en vitamines C et A. Consommer 100 g de chou kale permet de couvrir 150% de ses besoins en vitamine C pour une journée.

• Un taux record de vitamine K : Très riche en vitamine K, une demi-tasse de chou kale apporte 6 fois l’apport quotidien recommandé ! Cette vitamine, qui joue un rôle important dans la coagulation sanguine, est essentielle à notre organisme.

Chou nain frisé

En fouillant un peu dans le stock de graines, j’étais tombée sur un sachet il y a 2 ans de « chou nain frisé« , j’avais donc testé. Puis l’année dernière, je me suis offert des graines de « Chou Kale Noir de TOSCANE ». Que j’aie pris soin, de planter assez serré, car le vent me les casse facilement autrement.

J’ai déjà ramassé 2 belles caisses, qui une fois débarrassé de sa nervure centrale, vont direct au déshydrateur.

Ainsi, j’ai une partie qui va être en stock, préservée au cas où des ravages du gel, la grêle, les insectes… et qui servira principalement à faire des soupes, des bouillons cubes …. Et les frais qui seront disponibles au potager durant l’hiver. J’en mets toujours une dizaine de pieds, afin d’être certaine d’en avoir assez, car ma terre n’est pas forcément très bonne, de ce fait les rendements assez faibles.

J’avoue que c’est un peu tard pour vous pour en récolter, mais pensez-y au printemps prochain. Ne sachant pas comment sera l’hiver, je suis passée en mode Fourmis, au niveau de la nourriture, que je peux produire ou ramasser (châtaigne, ortie…)

Il vaut mieux avoir trop de nourriture en stock, que pas assez, les amis et l’hiver risque d’être difficile à passer, vu les hausses de prix …..

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